Иван Васильевич Морозов b. 1580проц d. > 1655 - Индекс потомака

Il fut un descendant du côté paternel de Riourik.
Il fut le grand-père du poète Ivan Mikhaïlovitch Dolgoroukov.

• Traduit de la fiche russe

1718, il fut élevé avec sa sœur Ekaterina Alexeïevna à Varsovie dans la république des Deux Nations (Pologne), dans la maison de son grand-père Grigori Fedorovitch Dolgoroukov, ensuite chez son oncle Sergueï Grigorivitch Dolgoroukov .
1723, il revint à Moscou car son père fut nommé président du principal magistrat.
1725, il commença à servir en tant que soldat du grand-duc Piotr Alexeïevitch, futur empereur Piotr II Alexeïevitch et il devint bientôt son favori.
1728, après l'accession au trône de l'empereur Piotr II Alexeïevitch, il devint ober-chambellan (Обер-камергер, 2e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs).
1730, il fut nommé major (Майор, 8e rang dans la table des rangs) du régiment Préobrajensky.
1730, sous la pression de ses parents, principalement de son père, il forgea une signature impériale sur le faux testament de l'empereur Piotr II Alexeïevitch qui laissait le trône à la fiancée de l’empereur, soit sa sœur Ekaterina Alexeïevna.
1730, l'impératrice Anna Ioannovna l'exila avec sa jeune épouse avec l'ordre de vivre à Berezovo (aujourd'hui Beriozovo).
1738, une enquête fut rouverte et avec ses deux frères, ils furent emmenés à Tobolsk en Sibérie, puis à la forteresse de Chlisselbourg.
Lors d'interrogatoires sous la torture, il évoqua le faux testament de l'empereur Piotr II Alexeïevitch et le rôle de ses proches dans l'établissement de ce dernier.

1723, Приехала в Россию вместе с братом Иваном.
сентябрь 1729, Подчиняясь приказанию отца, княжна Екатерина согласилась выйти замуж за императора Петра II, тогда как питала страстную любовь к графу Миллезимо из рода дель Каретто (родственнику австрийского посла графа Вратислава) и была взаимно им любима.
19 ноябрь 1729, Объявлена невестой четырнадцатилетнего императора Петра II.
30 ноябрь 1729, Состоялось её торжественное обручение, причём ей был дан титул «Её высочества государыни-невесты», по случаю помолвки Екатерине был пожалован Орден Святой Екатерины 1 степени. На другой день после обручения она переехала на жительство в Головинский дворец, а граф Миллезимо был отправлен за границу.
январь 1730, За две недели до свадьбы Пётр II заболел и умер, поэтому Екатерина не стала женой Петра II.
февраль 1730, После кончины Петра II княжна Екатерина вернулась в дом родителей.
9 апрель 1730, Отец и братья участвовали в составлении подложного завещания, оставлявшего престол наречённой невесте императора. За это княжна Е. А. Долгорукова вместе с семейством Указом императрицы Анны Иоанновны выслана из Москвы с повелением жить в своих деревнях и лишена Ордена Святой Екатерины. Проживала в с. Никольском Касимовского уезда.
12 июнь 1730, жительства: Березов, Тобольская провинция, Российская империя, Сослана в Берёзов вместе с семейством.
1738, Тобольск, Тобольская провинция, Российская империя, По доносу тобольского подьячего О. Тишина было начато следствие, её с тремя братьями увезли в Тобольск.
1740, место жительства: Томск, Российская империя, Перевезена в Томск и заточена в Рождественском девичьем монастыре, где содержалась в самом строгом заключении.

1782-1786, il passa beaucoup de temps à voyager à l'étranger.
1796, il fut gouverneur de Nijni-Novgorod et de Penza sous le règne de l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna.
1797, il quitta ce poste et il obtint un poste de sénateur.
1798, après la mort de son père, il vendit le domaine d'(voir en russe, Oudino) à Iouri Vladimirovitch Dolgoroukov.
1798, il termina sa carrière au rang de conseiller privé (Тайный советник, 3e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) sous le règne de l'empereur Pavel I Petrovitch.

Manoir Viazemsky-Dogoroukov.

1790, il acquit le (voir en russe, domaine Dogoroukov), auparavant domaine de la fille de Sergueï Alexeïevitch Golitsyne, Natalia Sergueïenna mariée à Nikolaï Alexandrovitch Dogoroukov.
Il y vécut ses dernières années où il reçut le soir des invités à l'exception des quatre mois d'été qu'il passait dans son village d'Ostafevo.
La maison fut visitée par les poètes Ivan Ivanovitch Dmitriev, Vassili Lvovitch Pouchkine, l'historien Nikolaï Mikhaïlovitch Karamzine qui épousa sa fille illégitime, Ekaterina Andreïevna Kolyvanov et ils vécurent à l'étage inférieur de la maison (deux mois avant l'incendie de 1812, son fils Piotr Andreïevitch vendit le domaine).

Manoir d'Ostafevo.

Le constructeur du célèbre manoir des princes Vyazemsky du village d'(voir en russe, Ostafevo) près de Moscou.
Il démolit tous les bâtiments anciens (ayant appartenu au marchand Kozma Matveïevitch Matveïv acheté en 1751 à un Golitsyne) et il construisit un palais de deux étages avec deux ailes reliées par une galerie à colonnades ouvertes. Le centre du palais fut le hall et la salle ovale destinée aux réceptions avec seize demi-colonnes corinthiennes en marbre artificiel et dont les murs furent décorés d'une frise décorative représentant des créatures et des animaux mythiques, le plafond fut peint avec des images de parents et d'amis vêtus de déguisements et au-dessus de l'entrée, il y eut une niche avec des chœurs pour orchestre.

Manoir d'Ostafevo.

Au premier étage de la maison, la bibliothèque contint une collection des œuvres de Rousseau, Voltaire, etc. ainsi que des livres ayant appartenu à son père et à son grand-père maternel, le prince Sergueï Grigorivitch Dolgoroukov.

Екатерина Андреевна Карамзина (16 ноября 1780, Ревель — 1851, Санкт-Петербург), урождённая Колыванова. Вторая супруга Н. М. Карамзина.

Единокровная сестра П. А. Вяземского, внебрачная дочь его отца князя Андрея Ивановича Вяземского и графини Елизаветы Карловны Сиверс. Брак не был заключён потому, что графиня была замужем. В дальнейшем родители Екатерины Андреевны расстались, и она воспитывалась в семье тётки отца — княгини Е. А. Оболенской. Фамилию Колыванова она получила от старого русского названия Ревеля, где она родилась — Колывань. Этой фамилией пользовался в качестве псевдонима также её отец, подписавший «Андрей Передумин Колыванов» изданный по-немецки философский трактат «Наблюдения о человеческом духе и его отношении к миру».

Стоит упоминания и то, что на праправнучке Шафирова Екатерине Андреевне Колывановой был женат знаменитый историк и писатель Н.М. Карамзин. Ю.Н. Тынянов считал, что именно Екатерина Андреевна – та самая «безымянная любовь» Пушкина, которой он посвятил знаменитую элегию «На холмах Грузии лежит ночная мгла»... И, наконец, еще один интересный факт: М.Ю. Лермонтов по линии бабки Е.А. Арсеньевой приходится родственником Евреиновым, а Матвей Евреинов, основатель этого рода, – родственник П.П. Шафирова.

• http://www.lechaim.ru/ARHIV/105/dudakov.htm

1807, à l'âge de quinze ans, son père mourut et son tuteur fut le mari de sa demi-sœur illégitime Ekaterina Andreïevna Kolyvanov, Nikolaï Mikhaïlovitch Karamzine.

Manoir d'Ostafevo en 1817.

1807, il hérita de son père Andreï Ivanovitch le palais d'(voir en russe, Ostafevo) près de Moscou et le domaine devint l'un des symboles de la vie culturelle en 1815-1818 avec Arzamas, société littéraire fondé pour lutter contre les goûts et les traditions littéraires archaïques dont les membres furent Alexandre Sergueïevitch Pouchkine, Denis Vasilievich Davydov et de nombreux autres écrivains et personnalités publiques.
Alexandre Sergueïevitch Griboïedov visita le domaine à plusieurs reprises et en 1849, Nikolaï Vassilievitch Gogol.
Sa bibliothèque compta 5 mille volumes d'œuvres de poètes et d'écrivains de l'époque de Pouchkine et un grand nombre de magazines et d'almanachs. En 1865, le domaine passa à son fils Pavel Petrovitch.

1812, il vendit le (voir en russe, domaine Dogoroukov) deux mois avant l'incendie de 1812.
1812, il entra dans la milice de Moscou et il participa à la bataille de Borodino où deux chevaux furent tués sous lui.
1839, il fut membre de l'Académie impériale russe.
1841, il fut membre de l'Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg.
1866, il fut co-fondateur et premier président de la Société historique russe (la charte de la Société fut approuvée par l'empereur Alexandre II Nikolaïevitch et la Société fut subordonnée au ministère de l'Éducation publique).

Il fut un poète (ses poèmes furent proches de la poésie des décabristes), un critique, un homme d'État.

Il fut le fils du prince Ivan Mikhaïlovitch et d'Evguenia Sergueïevna, née Smirnov.
1806-1808, il étudia à l'université de Göttingen du nouveau royaume de Westphalie.
1811, il commença son service dans le Comité des affaires de Livonie du ministère de l'Intérieur.
1812, il fut enregistré au grade de cornette (Корнет, 14e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) dans la milice de Moscou, participant à la bataille de Borodino ou bataille de la Moskova, combattant à la bataille de Winkowo ou bataille de Taroutino et à la bataille de Maloïaroslavets sous le règne de l'empereur Alexandre I Pavlovitch.
1814, il fut reconnu fou et il fut mis en retraite.
1815-1817, il fut nommé au département du ministère de la Justice.
1819, il fut promu conseiller titulaire (Титулярный советник, 9e rang dans la table des rangs).
1836, sur requête, il fut démis de ses fonctions.
1856, il fut promu assesseur collégial (Коллежский асессор, 8e rang dans la table des rangs) sous le règne de l'empereur Alexandre II Nikolaïevitch.
1857, il fut de nouveau démis de ses fonctions.

Писательница.

Литературная деятельность ее выразилась в стихотворениях, главным образом переводных из Шиллера; последние вышли отдельной книгой: "Стихотворения Шиллера" (СПб., 1859). Кроме того, Г. написала ряд повестей: "Домашняя знакомая", "Только три недели", "Леонид Степанович и Людмила Сергеевна", "Графиня Полина", "Катя" и пр. Затем ею составлены выдержавшая много изданий "Жизнь Пресвятые Девы Богородицы" (М., 1840), "Житие великомученицы Анастасии" (М., 1863), "Гибель от пустого чванства" (М., 1852) и пр. А. П. занималась также благотворительной деятельностью и проектировала общество "доброхотной копейки для бедных". См.: "О жизни и кончине А. П. Глинки" (СПб., 1863).

Elle fut la fille de Nikolaï Mikhaïlovitch et d’Ekaterina Andreïevna, née Kolyvanov qui fut la fille illégitime d'Andreï Ivanovitch Viazemsky.
Depuis 1804, les Karamzine passèrent chaque été dans le domaine d'(voir en russe, Ostafevo) près de Moscou, chez son grand-père maternel Andreï Ivanovitch Viazemsky et l'hiver, ils vécurent à Moscou.
1816, ils s'installèrent à Saint-Pétersbourg.
1825, elle fut demoiselle d’honneur.
1828, elle épousa un lieutenant-colonel à la retraite, le prince Piotr Ivanovitch Mechtchersky.
1837, elle fit partie du cercle d'amis du poète Alexandre Sergueïevitch Pouchkine, surtout dans les dernières années de sa vie et la mort du poète la choqua et elle fut indignée contre ceux qui tentèrent de protéger Georges Charles de Heeckeren d'Anthès.

Ekaterina Nikolaïevna Mechtchersky, née Karamzine.

1855, au début du règne de l’empereur Alexandre II Nikolaïevitch, à l'ère des transformations libérales, son salon fut considéré comme l'un des centres de l'opposition conservatrice. Elle reçut tous les soirs des invités qui vinrent la voir après le bal. Son esprit fut caustique, son caractère entier et passionné dans ses sympathies comme dans ses antipathies, dans ses déclarations comme dans ses démentis.
Depuis la fin des années 1850, le couple voyagea à l'étranger pour soigner sa santé.
1857, Léon Tolstoï leur rendit souvent visite à Vevey et dans ses journaux intimes sur les époux Mechtchersky, il parla d'eux comme des personnes stupides et des conservateurs aigris.
1867, elle mourut à Paris sous le règne de l'empereur Napoléon III.
1867, son corps fut ramené à Saint-Pétersbourg et enterré dans le cimetière Tikhvine (tombe perdue) du monastère de la Sainte-Trinité-Alexandre-Nevski.

Depuis son enfance, elle fut entourée de personnes intéressantes et ses lettres sont une source importante pour l'étude de l'histoire de la vie d'Alexandre Sergueïevitch Pouchkine, Piotr Andreïevitch Viazemski, Mikhaïl Iourievitch Lermontov et d'autres.

В службу вступил юнкером Нарвского драгунского полка, по делу декабристов арестован по ошибке вместо брата Федора. Освобожден и по Высоч. повелению переведен юнкером в Л.-гв. Кавалергардский полк (30.12.1825), корнет (1828), Флигель-адъютант (1838).

peint par Gerasim Ignatevitch Kadunov.

peint par Christina Robertson en 1840.

• Source Wikipedia Юсупова, Зинаида Ивановна / Zinaida Ivanovna Narychkine

Demeure de l'avenue Liteïny.

Château de Kériolet.

Elle fut la fille d'Ivan Dmitrievitch et de Varvara Ivanovna, née Ladomirsky/Rimsky-Korsakoff.
1825, lors des célébrations du couronnement de l'empereur Nikolaï I Pavlovitch, elle rencontra son futur mari, veuf depuis cinq ans.
1827, à 15 ans, elle épousa Boris Nikolaïevitch Youssoupoff.
1829, le couple rompit leur relation.
1830, elle commença une liaison avec l'officier du régiment de cavalerie Nikolaï Andreïevitch Gervais.
1834, suite à une chute de voiture, elle resta boiteuse, la privant de son occupation favorite, la danse.
1849, elle devint veuve et elle quitta Saint-Pétersbourg.
Vers 1858, elle rencontra Louis Charles Honoré Chauvet, capitaine de l'état-major de la garde nationale du département de Paris, de 20 ans son cadet.
1861, elle l'épousa dans l'église de sa demeure de la perspective Liteïny ou avenue Liteyny à Saint-pétersbourg.
1862, la cour russe désapprouva cette mésalliance et elle répondit en achetant le Château de Kériolet à Beuzec-Conq et le titre de comte de Chauvet et de marquis de Serre à son mari.
1889, elle devint veuve et le Château de Kériolet fut léguée à la sœur de son mari.
Elle racheta le Château de Kériolet à sa belle-sœur et elle décida d'en faire don au département du Finistère avec ses collections et deux ou trois fermes et des terres à condition de tout laisser en l'état.
Elle vécut ses dernières années à Paris.

• http://www.lechaim.ru/ARHIV/105/dudakov.htm

Ган, Елена Андреевна - талантливая писательница (1814 - 1842). Родилась в образованной дворянской семье Фадеевых. Мать ее говорила на пяти языках, прекрасно рисовала, изучала естественные науки, археологию и нумизматику. Она сама занималась воспитанием своих детей, из которых вышли недюжинные люди (кроме Елены Ган, писательница В.П. Желиховская ). 13 лет от роду Ган впервые начинает писать, "почти неведомо себе самой, без всякого участия в том воли", сознавая слабость первых опытов подражания "чудным звукам" любимых писателей. 16 лет она вышла замуж за капитана П.А. Гана, человека почти вдвое ее старше, и началась для нее обычная жизнь армейской дамы, в неинтеллигентном обществе, с вечными кочевками по южнорусским местечкам и городишкам. В браке Ган счастья не нашла; и спасалась от окружающей пошлости занятиями с детьми, чтением, изучением языков и поездками к родителям. В 1836 г. Ган побывала в Петербурге, познакомилась с Сенковским , напечатала в его "Библиотеке для Чтения" компиляцию из романа Бульвера "Гондольфин" и заинтересовала собою редактора. В следующем году появилась в "Библиотеке для Чтения" ее первая повесть "Идеал", подписанная псевдонимом Зенеида Р-ва. Лето 1837 г. она провела на Кавказе, где познакомилась с некоторыми из ссыльных декабристов. Кавказ внушил ей "Воспоминания Железноводска" и две повести: "Утбалла" и "Джеллаледдин" ("Библиотека для Чтения", 1838). Здоровье Ган давно уже было подорвано, а теперь, словно предчувствуя скорую кончину и к тому же нуждаясь в деньгах на лечение, на воспитание детей, она стала усиленно работать. Быстро последовали одна за другой повести: "Медальон" (1839), "Суд света" (1840), "Теофания Аббиаджио" (1841), "Напрасный дар" (первая часть появилась в 1842 г. в "Отечественных Записках", вторая - в посмертном собрании сочинений), "Любонька" ("Отечественные Записки", 1842), "Ложа в одесской опере" (альманах "Дагерротип", 1842). В произведениях Ган впервые в русской литературе ярко и полно выразился протест против униженного положения женщины в семье и обществе. Она не мечтала о выходе женщины из круга семьи на одинаковое с мужчиной поприще общественной жизни, не пыталась разрушать и перестраивать социальные преграды и только требовала больше уважения и сочувствия женщине как жене и матери. Белинский писал о ней, что она "принадлежит к примечательнейшим талантам современной литературы... Между русскими писательницами нет ни одной, которая достигла бы такой высоты творчества и идеи и которая в то же время до такой степени отразила бы в своих сочинениях все недостатки, свойственные русским женщинам-писательницам, как Зенеида Р-ва... Основная мысль, источник вдохновения и заветное слово поэзии Зенеиды Р-вой есть апология женщины и протест против мужчины... Она глубоко понимала униженное положение женщины в обществе и глубоко скорбела о нем". В повестях Ган, автобиографическое значение которых велико, ясно видно обобщение ее личной драмы, оборванной безвременной смертью. "В этой женщине, - вспоминал И.С. Тургенев , - было действительно и горячее русское сердце, и опыт жизни женской, и страстность убеждений, и не отказала ей природа в тех "простых и сладких" звуках, в которых счастливо выражается внутренняя жизнь". Сочинения Ган изданы два раза (Санкт-Петербург, 1843 и 1905). - см. W. Wolfsohn в "Russlands Novellendichter" (часть I, Лейпциг, 1848); К. Лагоренко, "Воспоминания о Ган" ("Одесский Вестник", 1844, № 10); "Старина и Новизна", IX, 1905, стр. 327 - 335; Воспоминания А.М. Фадеева (Одесса, 1897); статья Е.С. Некрасовой ("Русская Старина", 1886, август и сентябрь), Н. Фадеевой (там же, декабрь), В.П. Желиховской (там же, 1887, март), А.В. Старчевского ("Исторический Вестник", 1886, № 8, 9, 11); предисловие А-ова к собранию сочинений Ган издания 1905 г.; М. Гершензон , "Русская женщина 30-х годов" ("Русская Мысль", 1911, декабрь).

• http://www.rulex.ru/01040887.htm

Il fut le fils de Piotr Andreïevitch et de Vera Fiodorovna, née Gagarine.
1820, il naquit à Varsovie du royaume du Congrès sous l'empereur Alexandre I Pavlovitch, roi de Pologne.
Il reçut une excellente éducation à Sankt-Petri-Schule, puis à l'université de Saint-Pétersbourg.
Dans l'enfance et l'adolescence, il rencontra à plusieurs reprises Alexandre Sergueïevitch Pouchkine, un ami de son père, influençant ses futures activités littéraires et scientifiques.
1849-1857, au service du ministère des Affaires étrangères de l'Empire russe, il travailla dans le cadre de missions diplomatiques à Constantinople (aujourd'hui Istanbul), La Haye des Pays-Bas, Karlsruhe du royaume de Prusse, puis à Vienne de la Confédération germanique.
1857, il fut nommé curateur adjoint du district éducatif de Saint-Pétersbourg.
1859, il fut administrateur du district éducatif de Kazan.
1862, il travailla au ministère de l'Intérieur où il fut nommé président du Comité de Saint-Pétersbourg pour la censure étrangère.

Manoir d'Ostafevo.

1865, il reçut de son père Piotr Andreïevitch le palais d'(voir en russe, Ostafevo) près de Moscou. Il meubla la salle gothique du manoir dans un style médiéval où furent exposées des peintures d'artistes allemands médiévaux. Sa bibliothèque compta des livres rares, des incunables (ouvrage imprimé antérieur à 1500 et tiré à peu d'exemplaires), des elzévirs (livre imprimé en Hollande par les Elzévir ou par leurs imitateurs), des manuscrits de la vie des XVIe-XVIIIe siècles, etc. et dont les murs furent décorés de portraits de souverains, de scientifiques et de dirigeants de la Révolution française.
Il analysa les archives de ses ancêtres et la bibliothèque de son père et de son grand-père (1898, son fils Piotr Pavlovitch ne venant pas à Ostafevo vendit le palais au mari de sa sœur, Sergueï Dmitrievitch Cheremetiev).
1875, parmi ses travaux, il analysa Le Dit de la Campagne d'Igor.
1881-1883, au ministère de l'Intérieur, il travailla comme chef de la presse.
Dans les dernières années de sa vie, il fut sénateur dans le département de l'héraldique où il continua à étudier l'histoire des familles nobles russes.