Jean-Baptiste David b. ~ 1640 - Индекс потомака

1846, il naquit au Beausset en Provence sous le règne du roi de France et de Navarre Louis XV.
1765, il débuta sa carrière d'avocat au barreau d'Aix.
1793, il fut incarcéré à la fin de la Terreur de la Convention nationale.
1797, il fut député au Conseil des Cinq-Cents et il devint président de cette Assemblée, mais comme royaliste il fut condamné à la déportation lors du coup d'État du 18 fructidor an V (4 septembre 1797).
1798-1799, il s'exila avec son fils chez le comte (voir wikipedia en allemand, Friedrich Karl von Reventlow) et sa femme Frédérique-Juliane née von Schimmelmann au château d’Emkendorf du duché de Holstein et ils rentrèrent après le coup d'État du 18 Brumaire (9 novembre 1799).
1800, il participa avec quatre éminents juristes à la rédaction du Code Napoléon parce qu'il connut le droit romain et qu'il fut du Sud-Est, pays de droit écrit.
1803, il fut conseiller d'État et élu à l'Académie française au fauteuil 25, n°304.
1804, il fut élevé à la dignité de grand Officier de la Légion d'honneur.
1804-1807, il fut ministre des Cultes et ministre de l’Intérieur la même année.
1805, il fut élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur (n°40).

Il fut le fils de Jean Étienne et de Marguerite Françoise, née Siméon.
1778, il naquit au 25 rue de l’Opéra à Aix en Provence sous le règne du roi de Françe et de Navarre Louis XVI.
1798-1799, pendant son exil avec son père lors du séjour qu’ils firent chez le comte Frédéric von Reventlow au château d’Emkendorf du duché de Holstein, il rencontra sa future épouse Frédérika-Ernestina (dite Ina) qui fut la fille adoptive de ses hôtes.
1799, rentré avec son père après le Coup d'État du 18 Brumaire, le Premier consul Napoléon Bonaparte le combla de dignités.
1800, il fit imprimer à Paris le mémoire écrit pendant son exil Du devoir de l'historien de bien considérer le caractère et le génie de chaque siècle en jugeant les grands hommes qui y ont vécu couronné par l’Académie royale suédoise des belles-lettres, d'histoire et des antiquités (À peine paru, un journal littéraire en fit un résumé en ces termes : l’auteur établit d’abord quels sont les droits de l’exemple et l’imitation sur l’universalité des hommes, il examine ensuite quelle est l’influence des grands hommes sur leur siècle et comment les conceptions d’un philosophe, les vertus d’un sage, et les exploits d’un héros déterminent le sort d’un peuple. Il développe l’influence que l’esprit général des nations exerce à son tour sur le caractère des grands hommes et comment leurs actions empruntent, pour ainsi dire, le costume des temps où ils ont vécu. Il termine enfin par un tableau rapide des différentes règles auxquelles l’historien doit s’astreindre, s’il veut remplir le but qu’il se propose, de rendre l’histoire utile aux nations et aux individus).
1801, il épousa Frederika Ernestina (dite Ina), née de Holck.
1810, l'Empereur Napoléon le nomma conseiller d'État, mais il trahit l'Empereur en aidant les défenseurs monarchistes.
1813, l’Empereur le nomma premier président de la cour impériale d'Angers et il réussit à garder sa place jusqu'à la Première restauration du roi de France et de Navarre Louis XVIII ; rentré au conseil d'État, il fut attaché au service ordinaire de la législation et devint l'un des plus zélés défenseurs de la cause royaliste.
1815, il fut nommé conseiller à la cour de Cassation.
1820, il publia De l’usage et de l’abus de l’esprit philosophique au 18 ème siècle, texte écrit par son père lors de leur exil (chercher 'les causes morales qui ont fixé les caractères généraux de notre révolution' et le chaos attribué à l’athéisme et aux Lumières).
1824, il reçut le titre de président de chambre à la cour de Cassation.
1828, il fut promu garde des sceaux.
1852-1858, après le coup d'État du 2 décembre 1851, l’Empereur Napoléon III le nomma sénateur.